Brûle-encens japonais en céramique motif pêches, MOMO, 8,5 x 11 cm

Référence 5-ENC-INC79138
236,50 €

Brûle-encens japonais en céramique motif pêches, MOMO, 8,5 x 11 cm

LIVRAISON ET RETOURS

Délais de livraison :

  • 1 à 3 jours ouvrés pour la FranceBelgique et Suisse.
  • 3 à 5 jours ouvrés pour les autres pays en Europe
  • 3 à 5 jours ouvrés pour les autres pays via DHL

Cet article est expédié depuis notre entrepôt en France.

Vous pouvez retourner ou échanger un article dans les 14 jours suivant la réception de votre commande. Pour plus d'information, consultez notre Politique de retour

Détails

Fiche technique​

Largeur 8.5 cm
Longueur 8.5 cm
Composition Céramique
Conditionnement Conditionné dans une boîte en bois
Origine du produit Fabriqué au Japon
Hauteur 11 cm

Description

Des feuilles de pêcher, momo en japonais, ornent la surface de ce brûle-parfum de culte. De par sa grande valeur symbolique, ce fruit cher aux japonais est un thème récurrent de décoration.
- Dans le conte populaire Kojiki, l'ancien dieu Izanagi-no-Mikoto met en fuite le démon en lui lançant une pêche.
- Dans le conte éponyme, le courageux Momotaro, un enfant né dans une pêche, arrive à vaincre les esprits malins et sauve les habitants de son village.
- Finalement, le goût délicieux de la pêche lui vaut le nom de "cadeau des dieux" au Japon.

La fabrication de ce brûle-parfum suit les méthodes de la céramique d’Arita. Élaboré à partir de feuilles d'or sur une base rouge-vermillon, il s’agit d’une pièce exclusive au raffinement exceptionnel. Remplissez-le de cendres de riz afin de pouvoir y planter les bâtonnets d’encens japonais. N’ayant pas de support en bambou, ceux-ci brûlent alors intégralement sans laisser de trace.

À propos de la céramique d'Arita
La ville d’Arita dans la préfecture de Saga, est le berceau de la céramique au Japon. Au début du XVIIème siècle, un coréen du nom de Ri Sampei s’installa dans la région. Grâce à sa maitrise des fours à hautes températures et à la proximité d’un gisement de kaolin, Ri Sampei fut capable de fabriquer une céramique semblable à celle des chinois, mettant ainsi fin à un monopole de sept siècles. Très populaire au XVIIIème siècle, la céramique d’Arita fut largement exportée en Europe et elle contribua à la prospérité de la région.

Vu récemment